La Transjutrail
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Destination le Jura pour la sortie club 2015.
Différentes distances entre 15km et 72km et dénivellé entre 600m et 3200m au programme en course à pied et en marche nordique avec départs répartis sur un tracé commun (Mouthe, Morez, Prémanon, Les Rousses) et arrivée au même endroit dans la ville des Rousses. Transfert en navette depuis les Rousses jusqu'à chaque point de départ. Animations à partir du samedi.
L'hébergement est assuré à partir du vendredi 5 et pour tout le week-end dans un grand chalet à 20 km des Rousses (dans la limite des places disponibles).
La prochaine Assemblée Générale du 16 janvier sera l'occasion d'organiser cette sortie : transport, repas, hébergement, ...
Site internet : http://www.transjutrail.com
Résultats des coureurs
Course à pied 36.0 km - 2000 m D+ | Tiatia | 5h18mn16s - | Scratch: 207è - | V1F: 7è | - 6.79 km/h |
Course à pied 36.0 km - 2000 m D+ | Ced | 5h47mn37s - | Scratch: 321è - | V1H: 108è | - 6.21 km/h |
Course à pied 36.0 km - 2000 m D+ | Jean-Bluck | 5h55mn30s - | Scratch: 348è - | V2H: 40è | - 6.08 km/h |
Course à pied 36.0 km - 2000 m D+ | Fabien | 6h14mn04s - | Scratch: 406è - | V1H: 130è | - 5.77 km/h |
Course à pied 69.0 km - 3200 m D+ | David | 9h37mn30s - | Scratch: 56è - | V1H: 16è | - 7.17 km/h |
Marche 15.0 km - 600 m D+ | Jean-Luc | 3h03mn - | - 4.92 km/h | ||
Marche 15.0 km - 600 m D+ | Isa | 3h03mn - | - 4.92 km/h | ||
Marche 15.0 km - 600 m D+ | Jacques | 3h03mn - | - 4.92 km/h | ||
Marche 15.0 km - 600 m D+ | Chantal | 3h03mn - | - 4.92 km/h | ||
Marche 15.0 km - 600 m D+ | Françoise | 3h03mn - | - 4.92 km/h | ||
Marche 15.0 km - 600 m D+ | Dilou | 3h03mn - | - 4.92 km/h |
Photos
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pour conseiller 2 amis qui font à la Transju'Trail cette année, je me suis replongé ds ces très agréables souvenirs !
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A mon tour de vous raconter ma course. Arrivée comme prévu à Mijoux le vendredi...mais sans François malheureusement. Je perds à mon grand regret mon binôme d'entraînement. L'arrivée à Mijoux nous offre une superbe vue de la dole et une petite idée de ce qui nous attends. Le déroulé de notre séjour ayant déjà été brillament raconté place à ma course où plutôt ma rando course.
Rdv à Morez dimanche matin sous le soleil et la chaleur (comme thierry à l'habitude de dire "sale temps pour les bêtes grasses"). L'ambiance est sympathique et nous voyons passé les premiers coureurs du 72 km ainsi que David juste avant notre départ.Sympa. Nous adoptons tous la technique d'Eric et nous mettons en dernière position. L'objectif est simple avec mon nouveau binôme Jean-Luc : finir sous la barre des 6 h. Les premières pentes tant à la montée qu'à la descente nous montre qu'il ne faudra pas faiblir et bien gérer. Les deux premières heures de courses se passent sans encombre jusqu'à prémanon premier ravitaillement. Après la chaleur commence à faire son effet sur moi et la dernière la descente avant la montée de la Dole n'y change rien. Jean-luc se sent bien et dans cette descente me distance un peu. Je le rejoins au deuxième ravito avant l'ascension de la Dole. Il m'attends un peu...mais constate que c'est pas la grande forme pour moi. Je dois avouer qu'à ce moment les sensations sont mauvaises pas temps dans les jambes mais dans la tête et je suis à deux doigts de jetter l'éponge...mais comme m'a dit un coureur la mauvaise passe est passagère alors que l'abandon est définitif. Je repars avec Jean-luc qui me distance dans les premiers lacets de la montée de la Dole. Cependant je m'accroche et petit à petit le moral reviens. La petite brise fraiche qui accompagne l'orage qui monte dans la vallée me fait le plus grand bien. Je suis au sommet de la Dole en 4h15 de course, le moral est revenu la vue est superbe. Je me dis que les 1h45 pour faire les 12 à 13 km restant en descente en plus doivent me suffire pour atteindre mon objectif. Malheureusement les premiers pas dans la descente très technique font progresser mes connaissances en anatomie : je découvre que j'ai un fascia lata (pour ceux qui ne connaissent pas cf wikipédia). Mon genou droit me fait souffrir et descendre 5 km à cloche pied c'est long. Je prends mon mal en patience et atteins le dernier ravito. Là je vois arriver Sandrine. Je l'attends 3 mn et nous repartons ensemble. ça fait du bien au moral. Cédric je te comprends un binôme féminin c'est sympa. Malheureusement je n'arrive pas à m'accrocher complètement et Sandrine suit son petit train (qui va loin) et me distance un peu. Finalement parcours bouclé en 6h14. Malgré les difficultés ce fut une superbe expérience à renouveler.
Bravo à tous notamment David et Laetita pour leur performance.
En 2016 c'est les Templiers c'est ça ???? -
Sur les traces de nos voisins et amis de Jog'nature, nous avions décidé de nous rendre dans le Jura pour notre sortie club annuelle tout en bénéficiant d'un hébergement collectif à Mijoux, petit village à proximité des Rousses, lieu d'arrivée de toutes les courses.
Malgré la distance, 13 PSNois ont pu répondre présent à partir du vendredi pour la plupart et pendant plusieurs jours pour bien profiter du déplacement.
Arrivés les premiers, nous avons pu préparer un peu le chalet pour accueillir comme il se doit nos hôtes plus tardifs qui ont eu du mal à décoller de Préaux et les derniers du samedi.
Après avoir profité de Morez (dossards et tout ce qui va avec), retour au chalet pour un étalage à ciel ouvert de nos sacs et derniers préparatifs pour le lendemain. Je passe certains aléas qui marquent la mémoire collective et qui nous emmènent jusqu'au départ de la course...
Le profil du parcours est clair : départ dans la vallée de Morez à 700m d'altitude, point le plus haut au sommet de la Dole à 1660m pour une arrivée à 1100m. Soit 2000m de D+ cumulé et 1600 de D-.
Malgré tout cela, j'aborde cette course sereinement, sans me laisser impressionner.
Partis bon dernier, ça bouchonne d'emblée dans la 1ère côte pour sortir de Morez. D'en haut, la vue dominante sur la vallée nous permet d’appréhender ce que nous avons déjà monté. Comme par habitude, le duo avec tia² se constitue dans la descente. Je me crois sur un trail normand et je prolonge mes efforts dans les côtes alors que Tia² se préserve. Cela ne m'inquiète pas et je continue tout seul jusqu'à rattraper David (sur le 72km) qui marche lui aussi dans une côte. Il se remet en route et nous continuons à courir jusqu'au ravito de Prémanon au km 12 atteint en 2h. Longue pause de 4mn, je perd David de vue, je ne vois pas non plus Tia² qui arrive et je repars. Je ne sais pas si David est reparti aussi. C'est la longue côte. J'alterne maintenant marche et course quand la pente le permet. Je me sens toujours bien même si les phases de courses sont plus courtes. En haut de cette côte je sens que la fatigue est montée en moi. Je descends plus doucement que sur la première partie avec Tia² pour m'économiser. Mais c'est trop tard, le mal est fait. 3mn d'arrêt au 2è ravito, pas le temps de récupérer plus car Tia² vient d'arriver, bien plus fraîche que moi. "On repart ?" me glisse-t'elle. Je répond "ok" en pensant "déjà...". Elle mène l'allure d'un bon pas vers la boule de la Dole. J'essaie de m'accrocher car je sais que c'est ma seule chance de finir ensemble mais que c'est possible si nous passons le sommet ensemble. Je résiste sur les premières centaines de mètres mais je sens déjà la première crampe monter dans la cuisse. Je dois lâcher prise et l'écart grandit entre nous.
Au sommet, je récupère sur la petite portion plate et tente de relancer ma course dans la descente. Cette fois les crampes sont bien réelles et j'entame un cycle d'arrêts, d'étirements, de marche, de tentatives de course pendant toute la descente sur laquelle j'espérais au départ pouvoir me lâcher. C'est dur, mais je ne le vis pas mal. Je dois relever un nouveau défi : aller simplement au bout, peu importe le temps qu'il faudra. Je lutte, gère comme je peux, je ne suis pas le seul même si je me fais remonter par beaucoup de concurrents. Je grimpe le dernier pétard guidé par le son de la cornemuse. La descente technique qui suit ne m'épargnera pas non plus car même en marchant c'est compliqué pour moi. Sur la 2è partie plus facile, je reprends mon cycle préféré course/crampe/étirements. La fin du parcours est roulante, "à la normande". Je poursuis sans zèle à petite allure jusqu'au fort des Rousses. Je sais que la fin est proche. J'aborde l'aire d'arrivée. Je me laisse gagner par l'émotion (et pense à Sandrine) quand j'entends la team PSN m'encourager pour en découdre avec cette foutue journée en 5h47 ! Maintenant, le terme FINISHER a gagné du sens pour moi et je comprends ce que c'est que d'être un simple finisher parmi les finishers sans considération de chrono.
Au final, pas de grosse déception, si ce n'est de ne pas avoir pu en profiter complètement, car je ne m'étais pas donné d'objectif pour cette course. Mais une bonne leçon : ne plus aborder une telle course "à la légère" surtout après un programme de course un peu chargé et sans préparation adapté. Je tire en revanche mon chapeau à miss Tia² qui a dominé avec aisance cette épreuve. Félicitations aussi à Jean-Luc qui revient très en forme après une période de blessures. Je suis content pour Fabien qui a bouclé le périple sans frémir. Un grand bravo aussi à Sandrine qui, sans grosse prépa non plus, a encore géré parfaitement sa course ("petit train va loin"). Je félicite bien sûr aussi David, le seul qui a eu le courage de s'aligner sur le 72km et d'assurer un très bon classement face aux montagnards. Je pense aussi silencieusement aux marcheurs qui ont profité de la promenade ;D
En conclusion, il semble que la formule "montagnarde" ait plu à tous et qu'il faille renouveler cela prochainement, avec cette fois nos 2 compères forfaits juste avant le départ.
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Ça faisait longtemps que je n'avais pas participé à une sortie club. Dans mes souvenirs, ça rigolait bien et l'ambiance était sympa. Hé bien, ça n'a pas changé! Le groupe n'est pas toujours le même mais on observe une constance dans le plaisir d'être ensemble.
On a dû revoir l'organisation en vitesse suite au désistement de Cat et François. Au lieu de partir à 4 voitures, seules 3 seront du voyage. Le jeudi soir, je fais le tour de tout le monde pour récupérer ce qu'on doit amener au chalet et tout déposer chez David. Départ de chez moi à 20h10, retour à 22h40, pffiou…
Départ prévu le vendredi 14h avec les Taquet et les Bréant. J'en profite donc pour pousser un roupillon dans l'après midi. Jean-Luc n'arrivera qu'à 16h20, Mijoux atteint à 00h30.
Samedi promenade dans le village avec Isa comme guide, il fait beau, c'est très joli. Sandrine et David nous rejoignent au resto pour la pasta party version luxe : poulet aux morilles, taggliatelles et tarte aux myrtilles. L'après midi, on va chercher les dossards dans une chaleur étouffante. On va voir un peu le km vertical. C'est un truc de fou, c'est limite de l'escalade sur la fin du parcours!
Dimanche matin départ 7h00, Céd s'aperçoit qu'il a oublié son téléphone au chalet. On appelle Isa qui est admirative devant l'énergie déployée par Cédric pour marquer des points pour la tatane d'or. Navette des Rousses vers Morez très sympa, on rigole dans le bus. J'aime cette ambiance avant le départ, pas de prise de tête et franche camaraderie.
Il fait très chaud sur l'esplanade de départ. Je me mets à l'ombre avec Sandrine et Fabien. Sandrine nous donne des nouvelles de David. Théoriquement, y'a moyen de le voir passer au ravito de Morez avant notre départ. Bingo, en étant placé en tout dernier dans le sas, David nous interpelle. C'est génial ce moment, on s'encourage tous! Top départ…mais pas trop vite pour les PSN, on part bon dernier, les guiboles contre le pare-choc de la voiture balai.
On fait quelques km tous les 5, puis on forme l'habituel binôme avec Céd. On double pas mal de monde. Au loin, on voit la dôle. C'est magnifique.
Km8, il me dépose dans une montée. Il court et je marche. Je gère l'effort car je ne sais pas trop à quoi m'attendre. Je ne suis pas bonne en montée, je décide de m'économiser pour la montée de la Dôle. J'ai trop chaud, je cuis! Le parcours nous réserve de jolies surprise comme cette fontaine qui sert d'abreuvoir et accessoirement de ravito. L'eau est fraîche, un délice. Ravito de Prémanon, j'arrive quand Céd en part. Je reste le temps de faire le plein d'eau et de vider les cailloux des runnings. Wé, pas besoin de chaussures de trail en montagne sinon ça se saurait. ;)
Je monte doucement, je descends à fond et je retrouve Céd au ravito au pied de la Dôle. On décide de reformer le binôme. Je ne suis pas trop fatiguée et le ciel se couvre. On papote un peu, ça grimpe, ça grimpe et ça grimpe. Je me retourne car je sens que Céd n'est plus dans mes baskets, il me dit que c'est dur. Étonnement, le montée ne me paraît pas si difficile que ça. Je pousse bien sur les cuisses et j'ai le nez au ras du sol. Derrière nous l'orage grande. Je double et je pointe en haut en 3h45. J'en prends plein les yeux. Le lac Léman brille sous le soleil, je vois les Alpes un peu dans les nuages. La descente dans le cirque est féérique. On entends de la cornemuse, je suis incapable de trouver d'où ça vient, le son tourne tout autour. Je me sens pousser des ailes, j'ai l'impression d'avoir toujours attendu de faire une descente comme celle-là. Je glisse à 2 reprises mais je rattrape facilement. La montée qui suit est dantesque, je la trouve difficile et dangereuse. Les cailloux roulent sous les pieds, c'est pas simple. Je me retourne pour trouver Cédric, je ne le vois pas. Tant pis.
Dernier ravito, je me jette sur le fromage. Mais que c'est bon! J'en garde une bonne poignée dans la main. Je trottine bien, pas mal nul part. Je continue de ramasser les morts. Sur le bas côté, je vois de plus en plus de coureurs qui s'étirent ou qui font une pause. Je me sens bien, j'ai de bonnes sensations.
Pour finir, un peu d'escalier à monter pour passer sous un viaduc et un passage dans l'eau sous un pont avec un beau talus à grimper. Passage dans le fort des Rousses, je ne prends pas le bon chemin. Des promeneurs me remettent sur la bonne route. On m'annonce l'arrivée à 400m, déjà! J'entends la sono de l'arrivée, wéééééé. Dernier virage, les copains m'encouragent. Ils sont là! J'arrive comme une fleur. Je suis vraiment émue car j'ai l'impression d'avoir participer à une "grande" course. Un coup de jeu d'eau bien glacée pour me rincer, un coup de ravito et je vais retrouver tout le monde. On attend l'arrivée des autres PSNois. Tout le monde termine sans pépins. Vive nous!
Petit bilan du classement, km13: 327ème; km20: 281éme; km23 (haut de la Dôle): 258ème; arrivée 209ème en 5h18'16" 7ème V1.
Le soir, c'est BBQ, récup à la bière et une belle tranche de convivialité. On note les points tatanesques engrangés par Chantal qui oublie son dossard et de mettre de l'eau dans ses gourdes et de Cédric pour le portable. -
Faire 625kms entre Bois le Vicomte et Mijoux le samedi matin…
Faire les 36 pour Sandrine et les 70kms de la Transju’trail le dimanche…
Et faire 625kms entre Mijoux et Bois le Vicomte le lundi matin…
Mais vous êtes fous ?!
Oh OUI !!!
En plus nous avons vraiment passé 1 très bon week-end dans le Jura !
Merci donc aux organisateurs de ce « séjours » PSN à Mijoux car c’était 1 première pour Sandrine et moi et nous sommes déjà ready pour la prochaine fois…
Coté course, je suis content de moi car je m’étais basé sur 10h pour 1 top 70 et je termine en 9h37 à la 56ème place. Ces 70kms sont répartis en 2 : 1200m de dénivelé entre Mouthe et Morez (départ des 36kms) puis 2000m pour rejoindre Les Rousses et là ça pique !
Donc levé 2h55 pour finir de préparer mon sac. 3h15 départ pour prendre la navette aux Rousses à 3h45. Petit dej pendant le transfert. 5h30 départ de la Transju’trail…
J’ai fait les 34 premiers kms en 3h44 avec de beaux paysages et une t° agréable. Je suis ainsi arrivé à Morez et j’ai pu faire coucou à Laëtitia, Sandrine, Cédric, Fabien et Jean-Luc avant leur départ à 9h15. Et là, la t° était bien chaude avec en plus 1 montée de 10kms ! Au ravito de Prémanon, je retrouve Cédric mais n’ayant plus de liquide, je stoppe quelques minutes. Il fait vraiment chaud et il reste encore des kms donc je continue avec prudence… Arrive ensuite la montée de La Dole et là, je stoppe 10 minutes pour manger et prendre quelques minutes car je ne me sens pas très bien :-( Après avoir repris mes esprits, je monte, je monte, je monte mais ça n’avance pas très vite. En haut le paysage avec le vue du lac Léman est magnifique mais la descente fait mal avec de belles marches. Puis c’est le dernier col avec le soleil ds le dos ! A 8kms du but, c’est le dernier ravito ou je retrouve Jean-Luc. Le timing est bon car ma montre affiche 8h45 de déplacement. Mon coup de moins bien est passé (si ça vous arrive un jour, pensez positif car ça passe toujours) et je mets 50 minutes pour ces derniers kms avec 1 grand sourire :-)
56ème à l’arrivée, c’est top !
Sandrine termine les 36kms avec le sourire également puis tout PSN se retrouve ds le sas d’arrivée…
Ça sera ensuite, cryothérapie ds la rivière à Mijoux, bières, barbecue et rigolade.
Le retour s’est également bien passé avec Laëtitia et Fabien mais je suis bien content que le réveil n’est sonné qu’à 6h15 aujourd’hui car samedi 5h plus dimanche 3h et lundi 4h30 ; au bout d’un moment il faut que ça cesse :-) -
Un grand bravo à tous pour cette course, mais surtout un très grand bravo à Laetitia... Qui c'est les plus forts??? C'est la fille...
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Félicitations à toutes et tous, j'ai vécu vos course grâce au live. Tout simplement génial. Bonne récupération.
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Ce sera sans nous ce week-end. Profitez bien.
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Soirée de prépa décalée à ce soir pour plus de présents.
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Pour tous les participants, rendez-vous vendredi soir 29 mai chez moi pour une soirée de prépa de la sortie club. Vous recevrez un mail avec de plus amples informations prochainement mais réservez la date dès maintenant !
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Inscription faite à l'instant.
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Super ! y'a plus qu'à monter des côtes ;-)
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Bon ben voilà, c'est fait aussi.
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Mon inscription est faite, y'a plus qu'à…
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Pour Isa et moi, c'est fait et aussi pour Chantal et Jacques en dépannage, retraités dynamiques qui n'ont pas le temps de s'inscrire avant le 26 avril ...
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Attention : augmentation du tarif des inscriptions à partir du dimanche 26 avril !!!